Réagissant aux nouveaux accords commerciaux entre le Royaume-Uni et l’Australie et entre le Royaume-Uni et la Nouvelle-Zélande, qui sont entrés en vigueur à minuit, William Bain, responsable du commerce à la BCC, a déclaré :
“Une nouvelle ère de commerce international s’ouvre aujourd’hui avec l’entrée en vigueur des premiers accords commerciaux conclus par le Royaume-Uni depuis qu’il a quitté l’Union européenne.”
“Le commerce bilatéral combiné avec l’Australie et la Nouvelle-Zélande s’élève à plus de 15 milliards de livres sterling par an. Les investissements directs étrangers de ces deux pays au Royaume-Uni s’élèvent à 16,6 milliards de livres sterling et, dans l’autre sens, ils représentent un montant cumulé de 42,1 milliards de livres.”
“D’ici à 2035, l’accord avec l’Australie pourrait stimuler notre économie de 2,3 milliards de livres par an, et l’accord avec la Nouvelle-Zélande de 0,8 milliard de livres, sur le long terme, avec des bénéfices ressentis dans tout le Royaume-Uni.”
“Pour les entreprises britanniques qui exportent des biens et des services écologiques vers la Nouvelle-Zélande, l’accord offre des conditions de premier ordre. Comme l’a récemment souligné l’Organisation mondiale du commerce, si nous
nous mettons en place les bonnes bases, nous pourrons doubler les exportations de produits verts d’ici à 2030.”
“Bien entendu, le succès de tout accord de libre-échange dépend de son utilisation par les entreprises et, au Royaume-Uni, seules 10 % des entreprises exportent actuellement.”
“Si nous voulons réaliser l’ambition du Royaume-Uni d’être à l’avant-garde de la révolution continue dans les sciences de la vie, les services numériques et l’innovation verte, nous devons nous tourner encore plus vers le commerce.”
“Une enquête récente de la BCC a révélé que près d’un quart des entreprises (23 %) ont déclaré que le fait de trouver un partenaire commercial ou un distributeur à l’étranger les encouragerait à commencer à exporter ou à exporter davantage.”
“Il existe en Australie et en Nouvelle-Zélande de solides chambres de commerce affiliées à la BCC, et nous travaillerons avec elles pour tirer le meilleur parti de ces accords commerciaux
pour l’ensemble de nos économies.”
“Avoir ces contacts, comprendre le marché local et reconnaître pleinement les règles et procédures applicables dans un pays de destination peut faire toute la différence entre le succès et l’échec.”
“Le message adressé à toutes les entreprises qui envisagent de vendre des biens et des services à la Nouvelle-Zélande et à l’Australie est simple : il n’y a vraiment pas de meilleur moment pour se lancer.”
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